Lucille Desparois devait, par la voie des ondes radiophoniques, enchanter mon imaginaire d'enfant 11 années avec ses histoires de poisson qui parle, de petit poucet qui sème du pain pour retrouver son chemin dans la forêt et de belle princesse qu'il suffisait de réveiller d'un sommeil de plusieurs années en agissant en bon prince qui lui embrasse la joue.
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